Ainsi, la nef ouverte à tous les vents abrite des massifs d'hortensias.
Des rosiers courent sur tous les murs de l'Abbaye de Beauport, roses ou blancs. L'un d'eux a ma préférence. Il est rose soutenu, avec des reflets cuivrés dans son cœur.
Alors, un hiver, j'en ai prélevé un rameau qui m'a servi à faire trois boutures. L'une a été donnée à un jardinier, les deux autres sont dans mon jardin. Elles ont fleuri l'an dernier pour la première fois, modestement, et cette année semble être celle du grand démarrage. Les boutons sont nombreux, et de grandes tiges s'élancent vers le ciel (j'ai oublié de vous dire que c'est un grimpant).
Rendre cette couleur si particulière est très difficile sur les photos. Le rose devient criard et la nuance de cuivre n'apparaît pas.
Mais je vous laisse admirer les magnifiques aiguillons rouge vif, si beaux lorsqu'on les voit à contre-jour.
Ces beautés ont été placées près de la maison, comme ça, les chevreuils n'y toucheront pas. Na!
J'ignore le nom de ce rosier, je l'ai donc appelé "Rosier de Beauport", mais si quelqu'un le connaît, je serais heureuse de pouvoir l'appeler par son petit nom.
Il est magnifique ton rosier Michèle. Quelque soit son nom tu lui a rendu un bel hommage en lui permettant de vivre une nouvelle vie cher toi. Bises
RépondreSupprimerMerci Chantal Hélène. Je suis fière de montrer cette bouture fleurie provenant d'un si beau monument aux visiteurs de mon jardin, car j'aime que les plantes aient une histoire. Bisous et bon weekend.
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