Profitant d'un rayon de soleil, un vulcain a voleté sur la terrasse, autour des pots de fleurs, pour finalement s'intéresser aux pommes destinées aux mésanges.
Il a fait le plein de sucre, mais je doute malheureusement que cela lui suffise pour passer le reste de l'hiver.
Vous êtes-vous déjà fait la réflexion que les pare-brises de nos voitures étaient couverts de moucherons autrefois et que cela n'arrive plus aujourd'hui?
En trente ans, ce sont 75 % à 80 % des insectes volants qui ont disparu, et ce serait de la folie de penser que c'est sans incidence sur l'état général de la vie animale (et par la même occasion humaine) sur Terre.
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RépondreSupprimerLe temps semble agréable en Bretagne alors que ici dans le Lot la pluie ne cesse de tomber. Le jardin est gorgé d'eau et l'inondation menace... Plus cette inquiétante réflexion sur les insectes que je partage, morne matin... Bises toi Michèle
RépondreSupprimerNe pas se fier à une photo prise lors de L’Éclaircie du mois! Il n'y a pas moyen de mettre les pieds au jardin autrement qu'avec des bottes. Avec des sabots, l'eau rentre par-dessus. Les ruisseaux et les fossés aux alentours débordent. Il pleut en gros depuis la fin novembre sans discontinuer ou presque, et il paraît qu'on va en recevoir encore. Faisons contre mauvaise fortune bon cœur: il vaut mieux oublier le jardin en attendant qu'il redevienne praticable, et se tourner vers des activités d'intérieur qu'on n'aura plus le temps de faire dans quelques semaines... ou mois. Je lis, je couds, je peins. Ça a du bon parfois de ne pas pouvoir sortir. Bisous Florence.
Supprimerc'est vrai que tu as un si bel atelier (je te l'envie fort!)je t'imagine en train de peindre..tu es chanceuse!
RépondreSupprimerce que tu écris fait peur, plus de mouches ni moucherons, que va t'il se passer pour les générations futures?
je t'embrasse Michèle
ici
Oui, c'est très inquiétant. C'est pourquoi toute action pour protéger les insectes, ou au moins ne pas les tuer, est essentiel. En plus, ce n'est pas compliqué de faire ça dans nos jardins. Comme le dit Pierre Rabhi, chaque goutte d'eau portée par le colibri compte. Bisous Catherine.
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